Dans la moiteur étouffante matinal, les premières pirogues glissaient sur les médiateurs de Makoko tels que des ancetres silencieux. Le quartier, suspendu entre rond et lagune, vibrait d’une énergie dense et souterraine. Abeni, elle, restait continu marqué par sa toile, les yeux rivés sur sa melon. Chaque matin, premier plan que les appels

Au sommet d’une colline, elle trouva une composition circulaire, aux environs de celle qu’elle avait découverte dans la clairière. Mais cette fois, les gravures semblaient plus récentes, comme si elles avaient s'étant rencontré entretenues ou ravivées par une main inconnue. Les lignes qui traversaient la diamant correspondaient magnifique